Projet de réaménagement de la place jean Anouilh

Quartier Bélisaire au Cap-Ferret | Épisode 04

Communiqué de JM BRUNO, responsable de l’Association ASPLCF

A la suite de l’article paru dans Sud-Ouest du 23/02/2021 je tiens à apporter le précisions suivantes :

1. Nous ne sommes pas une association de « riverains » ; nous avons opté pour une forme associative type loi 1901 avec pour mission « la sauvegarde de l’environnement et la protection de l’humain plutôt que le profit à outrance. »

2. Bélisaire est un problème d’urbanisme général qui touche l’ensemble de la population locale et touristique ; des milliers de promeneurs empruntent ce chemin entre la jetée et le boulevard de la plage.
Il y a plus de deux ans, donc bien avant le covid, nous nous sommes engagés, face à un projet démesuré de ré-aménagement de la place Jean Anouilh, pour une approche plus raisonnable. Ce projet a été retiré au bout de plusieurs mois de « pression » et déjà à cette occasion le passage devant les restaurants avait été soulevé. Le Maire nous a alors affirmé sans sourciller que « les propriétaires fonciers des restaurants étaient aussi propriétaires de l’espace dénommé « rue de la Plage » sur le cadastre ».
L’analyse des actes authentiques a suffit à démontrer formellement que la rue de la Plage faisait partie du domaine communal.
Depuis nous essayons simplement de convaincre le Maire de faire respecter la propriété communale :

C’EST A DIRE NOTRE BIEN A TOUS

Dans ce dossier, il n’y a de « flou artistique » que dans la tête de Monsieur le Maire !

3. Notre démarche induit bien sûr une inquiétude chez les exploitants des restaurants ; nous en avons conscience et nous regrettons cette répercussion. D’autant que les exploitants, à travers un bail dont nous n’avons pas connaissance, sont peut-être les victimes d’une occupation antérieure illégale (volontaire ou non) de cet espace par le propriétaire foncier de Pinasse.
Il est bien évident que les exploitants, une fois les choses mises à plat, pourront bénéficier d’une AOT qui n’entrainera pas de gène pour l’ensemble de la population, ni pour la sécurité.

Finalement, nous voulons simplement faire respecter le droit et la liberté de circulation.

JMB